Ce n’était pas la mousson tropicale, ni le froid sibérien, mais tout de même !
Les caprices de la météo ont obligé parfois les marcheurs à révéler de nouvelles capacités d’adaptation :
- concentration et travail de l’équilibre pour éviter la boue, le dérapage, puis la “patouille”.
- mais aussi résister au froid quand la neige et le blizzard sont au rendez-vous.
La pratique de la marche nordique ? C’est ludique, et ça n’a rien à voir avec la marche au pas cadencé !